Andines

Pressentir l’illusion
mais se perdre quand même
en haut de la montagne
dans les yeux du Condor.

Un commentaire

Le Borgne 17/03/2008 Répondre

Au détour du hasard, je me suis arrêté sur ton blog, avec toujours, j’avoue, une bonne dose de curiosité de voir ce que font les autres poètes. Agréable surprise je dois dire. Bravo. Amicalement.

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