La symphonie urbaine d’Arevako (3/9)

A l’occasion du Printemps des poètes, nous vous proposons chaque jour et jusqu’au 12 mars, un début de poème faisant résonner le chant des villes. Chacun d’entre vous peut le compléter avec ses propres mots, en suivant le même rythme ou en changeant de tempo. C’est parti :


Le guide

Il connaissait mieux que personne
Les raccourcis, les impasses folles
De la superbe mégapole.

Jour et nuit, à toute heure
Il se guidait à l’odeur.
Et puis retrouvait son trou,
Le rat d’égout.

(A vous de continuer en ajoutant un commentaire…)

Un commentaire

StefBis 06/03/2006 Répondre

De morceaux de sandwichs grecs
De quelques restes de sushis
Il effaçait son appétit.

Seul un jour un vieux poulet
Échoué, malade au bord du quai
Pour toujours lui resta
Sur l’estomac.

Laisser un commentaire