Ca va faire mal

Soudain, face au précipice, John Mallaugm, zéro émérite, se dit qu’il boirait bien un grand verre de lait chaud.

Un commentaire

jonathan livingstone 05/03/2006 Répondre

De l’autre coté du verre
Ils voyaient un gros nez mou
Et une paire d’yeux gros comme le plus gros d’entre eux
Ils voyient des lèvres gigantesques
Se coller àla paroi
Comme les tentacules visques d’un monstre des mers
Ils le voyaient
(et il n’en savait rien)
Les poissons exotiques
De l’aquarium du poète

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