Note sur la poésie #49

Essayer de ne pas utiliser les mots qui ne sont plus utilisés. Qui voudraient se réfugier dans le poème en échange d’un effet, souvent dérisoire. Essayer au maximum de traduire par les mots d’usage de notre quotidien ce que l’on perçoit d’intemporel dans cette existence. Pas une formule, ni une idée, mais la tentative de définition, d’encerclement patient, d’une émotion. À chaque poème qui tient un peu.

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