Bain 15/03/2015 dans Poèmes La chaleur de l’enfance enivre mes narines Parfum d’amande douce. Spring La vie est utile Un commentaire marion margulies 20/03/2015 Répondre ça ouvre la porte en doux et grand. Répondre à marion margulies Annuler la réponseCommentaire * Nom * E-mail * Site web Δ Articles similaires Le peuple des hommes (2) : le martyr Un point, c’est tout (10/14) : le paragraphe L’étendue The Jazz Standard Project #2 : Frenesi (1939)
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ça ouvre la porte en doux et grand.