Où nos ombres s’épousent

Stéphane Bataillon
Où nos ombres s’épousent – Vivre l’absence
Pagination : 112 pages
Prix : 13 €
ISBN : 978-2362291388
Diffusion : Harmonia Mundi


SECONDE ÉDITION AUGMENTÉE

Redécouvrez Où nos ombres s’épousent, premier recueil paru aux Éditions Bruno Doucey avec une série de proses poétiques inédites, Poursuites, et une postface de Jean-Marie Berthier.

Extrait :

« Je t’avais promis
une caresse chaque soir.
Désormais, ce sera un poème. »

Le mot de l’éditeur :

L’une de mes grandes joies d’éditeur réside dans la publication, en 2010, de Où nos ombres s’épousent, le premier recueil de Stéphane Bataillon. Six ans après la parution de ce livre, une seconde édition voit le jour, augmentée de courtes proses de l’auteur et d’une postface de Jean-Marie Berthier. Plus encore, de toutes les attentions bienveillantes que les lecteurs ont déposées, au fil du temps, sur la peau tendre de ce texte. Dans ces pages, le poète évoque la perte de celle qu’il aimait, à un âge où la mort paraît hors de propos.

Il aurait pu s’enfermer dans un silence fracassé ; il ne l’a pas fait. Son chant pouvait devenir le lamento d’un être inconsolable ; il ne l’est pas. Sa poésie évoque le deuil sans pathos, elle parle juste et parle vrai. Peut-être ceux qui la liront se sentiront-ils aussi deux fois vivants.

Bruno Doucey

• Un texte incomparable sur le deuil et la capacité de vivre l’absence.

 

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REVUE DE PRESSE
RCF – Le temps de le dire 2/11/2016
rcf

Mercredi 2 novembre 2016, j’étais, avec Laurence Bouvet, l’invité de Stéphanie Gallet sur la radio RCF pour une belle émission ayant pour thème  » De la poésie pour vivre le temps du deuil », à l’occasion de la sortie de la nouvelle édition augmentée d’Où nos ombres s’épousent. Écoutez l’émission :

 

France Culture – Ça rime à quoi du 19/02/2011

Samedi 19 février 2011, sur France Culture, j’étais l’invité de Sophie Nauleau dans le cadre de son émission « Ça rime à quoi » pour un entretien chaleureux autour de mon recueil «Où nos ombres s’épousent ».

Écoutez l’émission :

 

France Info du 07/01/2011

« Où nos ombres s’épousent de Stéphane Bataillon, l’histoire d’un homme qui a perdu celle qu’il aimait. Une poésie remarquable et légère. » Les éditions Bruno Doucey et notre recueil ont fait l’objet du « coup de cœur » de Pierre Vavasseur, écrivain et Grand Reporter au Parisien, dans la chronique culturelle animée par Olivier de Lagarde. 

Écoutez l’extrait de l’émission :

 

Le Monde des livres du 15/10/2010

“ Lecteur de Guillevic, Stéphane Bataillon (né en 1975) a présenté une anthologie de Poésie de langue française, 144 poètes d’aujourd’hui autour du monde, (Seghers, 2008), avec Sylvestre Clancier et Bruno Doucey. Il inaugure aujourd’hui la collection  » Jeunes plumes » dans les éditions fondées récemment par ce dernier, avec son premier recueil, Où nos ombres s’épousent. Des poèmes lumineux, comme si un deuil, évoqué avec discrétion, rendait plus vif le « flagrant délit d’être », l’attention aux vivants et aux paysages. « Mon grand père m’a transmis/un calme malicieux/celui de ce pays/qui fait partie de moi/sans autre prétention/celui que le vent mène/bien au-delà du temps/de l’exil et de l’ombre/Celui que me rappelle/ce frisson dans tes yeux/Comme si d’ordinaire ». Monique Petillon

La Croix – Cahier Livres du 4/11/2010
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«  Stéphane Bataillon publie un recueil magnifique et ambitieux où le deuil et l’amour cheminent au milieu des mots (…) La simplicité : c’est sans doute la grande force de ce recueil qui se lit d’un seul trait, comme un journal intime, et qui fait mouche par l’universalité de son propos, son authenticité et sa modestie. (…) Au fil des pages, par la seule force de la poésie, la vie reprend peu à peu ses droits. On sent bientôt se dessiner « un jardin/où chaque pierre/aurait sa place// où le chaos/saurait se tenir », comme il le dit dans un stupéfiant raccourci. François-Xavier Maigre
Lire l’article en entier >

Panorama – Mai 2011

« (…) La collection « Jeune plume » , destinée à publier le premier recueil d’un poète, nous offre un lumineux petit ouvrage. Une poésie légère et dépouillée qui évoque les ombres et les lumières du travail de deuil d’un jeune auteur. Un souffle de vie traverse les pages. Et après la lecture, les mots continuent leur voyage dans le cœur du lecteur. » 

Europe – n°984 – avril 2011

« (…) L’écriture sauve. Alors ce chant de deuil devient un chant de vie. Le poète sait la nécessité de « Maintenir le serment […] / Et déplacer les dunes/ par la seule ambition/ de se relier ensemble ». Il faut « tenir le rendez-vous », nous dit-il. Car il ne s’agit pas d’oublier, il ne s’agit pas de renier le passé, il s’agit de vivre avec le souvenir (…) cette poésie est d’une grande efficacité: langage simple, images réduites, mais une grande sensibilité, à fleur de peau s’offre à l’orée de nous. Gageons que nous réentendrons ce jeune et nouveau poète bientôt. Nous l’espérons. Il nous fera du bien. » Bernard Fournier.

3 Commentaires

brigitte tosi 18/09/2010 Répondre

vos extraits me sont allé droit au coeur. Simplicité des phrases, dépouillement, entière vérité.vousdites touten peu de mots.bravo.
BRIGITTE

RINALDI 30/10/2010 Répondre

J’ai été très touché par les poèmes que Stéphane Bataillon a lus lors de la soirée poétique organisée par les Editions Bruno Doucey en l’église Saint-Merry à Paris autour du thème de l’amour. Derrière l’apparente simplicité des paroles lancées à travers la mort, l’on pouvait entrevoir l’abîme désespéré de celui, inconsolable, qui n’a plus que les mots pour faire vivre encore l’aimée qui n’est plus.

Patricio SANCHEZ-ROJAS 26/03/2020 Répondre

Je découvre ta poésie. Elle est à portée de main et vivante. Merci à toi

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