Suspens 10/05/2009 dans Poèmes Il n’y a plus de couleurs plus de pierres ni d’eau capable de reflets Juste le vent qui entoure. Satyâ Combler Laisser un commentaire Annuler la réponseCommentaire * Nom * E-mail * Site web Δ Articles similaires Poèmes du zen #2 : Nouvel an L’endeuil #4 Sola scriptura #59 : Pessa’h / La Cène Sur le bout de la langue #2 : Utilité