Œil neuf 13/02/2008 dans Poèmes Aiguiser son jugement sur une planche impeccable pour démasquer ce qui nous perce. Vanité Buvard Un commentaire Sév 13/02/2008 Répondre N’oeil, n’oeil. Laisser un commentaire Annuler la réponseCommentaire * Nom * E-mail * Site web Δ Articles similaires Verdict Cadeau L’ombre d’un Paradis Le peuple des hommes (31) : le libérateur
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