L’affiche 10/09/2005 dans Poèmes Une fois dans la loge, il se mit à pleurer. Décidément, il détestait les clowns, même tristes. Fondheim Pauvre Théodore ! Laisser un commentaire Annuler la réponseCommentaire * Nom * E-mail * Site web Δ Articles similaires Retenue Vendredi 22 octobre 2010 : « Poésie aux autres coins du ciel » une soirée-parcours poétique à l’Eglise Saint-Merry (Paris) Rivages Inscrire