Hippodrome 17/05/2009 dans Poèmes Encore quelques minutes allongés sur le champ au plus près de la terre Puis nous prendrons la ville. Retourner Varier Laisser un commentaire Annuler la réponseCommentaire * Nom * E-mail * Site web Δ Articles similaires Le peuple des hommes (23) : l’escroc Manifeste du Parti Neutre Dans tes veines Transmission