Phidippidès

J’ai couru jusqu’à vous
pour porter la nouvelle

Du champ de Marathon
dans un sillon de sang
j’ai enduré ces peines

Qu’attendons-nous encore ?
Que leurs dieux se soumettent ?

Quelle guerre réussira
à nous faire ralentir ?

J’aimais courir avant,
c’était…

la liberté.

 » Nenikekamen ! « 

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