Puiser 15/02/2012 dans Poèmes Les yeux plient sous le poids des fatigues du corps Seul ton sourire redresse. Le peuple des hommes (10) : le casse-cou Le peuple des hommes (11) : les militants Laisser un commentaire Annuler la réponseCommentaire * Nom * E-mail * Site web Δ Articles similaires Pas l’urgence Soufflé Chinois L’apaisement #3 Alchimie (8) : langue des oiseaux