Faudrait-il renier
tous ces mots qui nous changent
sous prétexte qu’ils se trouvent
au-delà d’un réel
qu’ils annoncent et annulent ?
Renoncer au poème ?
Faudrait-il renier
tous ces mots qui nous changent
sous prétexte qu’ils se trouvent
au-delà d’un réel
qu’ils annoncent et annulent ?
Renoncer au poème ?