Cerisier 28/04/2009 dans Poèmes Ne plus tenir la barre comme une fleur qui décroche comme une peau que l’on frôle. Âges farouches Latent Laisser un commentaire Annuler la réponseCommentaire * Nom * E-mail * Site web Δ Articles similaires Traduire les Psaumes (4) Cosmogonie Les instants Poème du zen #14 : satori