Sola scriptura (4) : Au bout de la piste

Nous l’avions éprouvé
sans nous en rendre compte
avant qu’il ne s’absente

Et la route fût longue
pour remettre en lumière
l’équilibre mouvant

Les fausses pistes nombreuses
vers un Dieu incarné
trop au-delà de tout

Rien de plus que l’eau
d’une rivière d’été

Mais aucun mot ne dit
sa fraicheur sur nos joues

Rien à atteindre d’autre
qu’un absolu en nous.

Un commentaire

bat 26/06/2008 Répondre

Absence, équilibre,Dieu,étoiles,eau ,voix,absolu…

Comme des étincelles les mots nous promènent sur un chemin qui nous conduit dans une clairière ensoleillée.

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